La Compagnie du Coin met l’accent sur la production de formations musicales « Grands Formats ». Identité forte de la compagnie, elle propose des spectacles à l’instrumentarium diversifié se composant de 6 à 11 musicien.nes.
Les formations de ce type apportent une richesse globale de timbres, de travail d’orchestration et d’arrangements ambitieux.
De la déambulation écrite ou improvisée à l'orchestre ritualisant à hauteur d'humain, les spectacles de la compagnie inclus toujours le public, joue avec lui et lui font vivre une expérience unique.
Le collectif a toute sa place dans l'art de rue, par son travail du corps, des espaces (publics), de la prise de parole et de l'échange avec le public.
Création en cours. La rumeur court qu’il va y avoir un spectacle mortel de la Cie du Coin. On ne sait pas où, Le lieu est tenu secret. Les personnes qui l’ont vu disent qu’il y a un avant et un après…
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Jaillissant d’on ne sait où, une horde bigarrée, pleine de ferveur, vous mène sur le chemin des autres et de vous-même. Guidant vers l’invisible par la musique, le mouvement, la joie et les éléments...
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Dans un environnement bruyant, sous tension, entre manœuvres autoritaires et course d’orientation, 10 personnages s’appliquent à tenir l’assistance en état d’urgence.Spectacle ou réalité ? La frontière est trouble...
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L’orchestration est fine et légère, la pâte sonore est ronde, harmonieuse, et notre recherche du moment se concentre notamment sur une précision des nuances que nous savons rare dans la musique de rue.
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L’ Orchestre Ducoin descend de scène pour se perdre dans la foule, à hauteur d'homme, de femme et d'enfant, facétieux comme jamais. Prêt à entamer céans une pièce intimiste de musique de genre dans le hall de la banque centrale, ou à créer de toute pièce une "chorale minute" pour les pensionnaires de la maison de retraite de votre choix, l'Orchestre acoustique, mobile et réactif saisira chaque opportunité de jeu, improvisant à chaque fois un concert frais et original. Se jouant des codes musicaux et de l'instrumentarium des combos de jazz des années 30, il interprètera une musique subtile et virevoltante, virtuose et figurative.
« Si les hélices des moulins nous poussaient, dans le néant, la terre avancerait » Allons-y, tous unis dans le grand vortex zinzin de l’Orchestre Ducoin ! Voir si l’éléphant glougloute, si le dindon barrit. PLUS VERTE AILLEURS est un concert à vivre et à voir, un chant qu’on se partage. C’est une promenade avec six musiciens acteurs, ouvriers d’un concert déconcertant. C’est emboutir le code, débouler pour tout dépouiller et aux poules le protocole ! Un concert mobile pour bouger les pieds, le coeur et l’esprit.
Ce sont 12 musiciens échappés d’un tableau s’offrent le luxe d’une épopée fantasque et onirique. Aux confins de la rêverie, la Compagnie du Coin livre un regard singulier sur ce qui l’entoure, et poétise images et paysages d’un monde qui lui est étranger et fascinant. Il est ici question de points de vue, de cadre, de débordement, de liberté…
Il y a dans "Alice au pays des merveilles" de Lewis Carrol, une chose magique et passionnante de l'absurde et de l'onirique, qui peut se prendre par n'importe quel bout. Dans notre réécriture, le spectateur est en présence d'une ronde de personnages loufoques, occupant tour à tour le premier plan et s'exprimant par la musique, par le chant, mais aussi à l'intérieur de la musique, au second plan, par la présence de ces mêmes personnages, véritables musiciens de l'orchestre, accompagnateurs et constructeurs concrets de l'univers sonore.