Bienvenue dans le monde cosmique de La compagnie du Coin , la compagnie qui transforme nos villages en soucoupes volantes.
La compagnie du Coin c’est le cerveau chantant de la commune féerique de Saint Coin , seule commune au monde jumelée avec toutes les communes du monde.
Telle un Groland musical , reignent à Saint Coin le bonheur des ouïes et les cœurs grands ouverts .
Et un seul ministère : celui de la musique . Car à Saint Coin la musique est universelle , des orchestres & une fanfare où les sons du monde entier viennent se mélanger , des musicien.nes extraterrestres arrivent jusqu’à nous simples badauds simples piétons et nous embarquent aux sommets de solos de jazz , tutti contemporains , rythmiques épiques , mises en scène dada et salvatrices .
C’est la danse , le jeu , la surprise .
C’est une musique singulière loin des clichés qui s’offre à la rue .
C’est une chance pour celles et ceux qui sont là .
Le spectacle est entier .
Le voyage est interstellaire .
La compagnie du Coin s’offre à nous .
Elle incarne le rêve de Prince et de tous.tes les musicien.nes du monde :
amener la musique , la grande la belle , l’universelle , au cœur des villes et des villages , à la rencontre des humains , pour encore et toujours un peu plus ouvrir les oreilles et les cœurs .
Merci ô Compagnie pour la si belle inspiration !
Et longue vie à vous anges de Saint Coin !
THOMAS DE POURQUERY
Saxophoniste-chanteur, fondateur du groupe SUPERSONIC, chroniqueur FIP
Calmez-vous, bande d’impatient·e·s que vous êtes! On dirait que vous avez pas bouffé de spectacles depuis 2 ans! C’est pas possible une dalle d’informations pareil!
Et ben oui ça avance, rassurez-vous… Même très bien si vous voulez savoir. Les idées déferlent, la production s’étoffe, les pré-achats apparaissent au loin ! Terre à triboooooord !!! ...
Car oui, mon sens aigu du protocole me pousse à vous le hurler à tous, cher·es fidèles de la Compagnie du Coin qui au fil des années, et ce malgré le covid, la guerre en Ukraine, la peste brune, la lèpre bubonique transmissible par téléphone, la bombe nucléaire à tête chercheuse d’enfants, Rachida Dati au Ministère de la Culture (oh, faut toujours qu’il invente les pires horreurs çui-ci…), nous êtes fidèles ...
Fafa. Fa - fa. Cela pourrait sonner comme le prélude d’un concerto dont le compositeur, par ces deux coups d’éclat d’orchestre, attirerait l’attention de l’auditeur·ice au sublime à venir. Fafa (la nôtre) serait au piano (elle a été pianiste). L’air grave, elle exécuterait tout d'abord devant le public concentré quelques phrases introspectives, trouvant l’inspiration dans le murmure du temps qui passe...